Photo d'illustration (réseaux sociaux)
La mariée -désormais ex-mariée- a expliqué les raisons de cette décision sur le forum Reddit, et c'est son passé qui a ressurgi avec cet incident désagréable.
La jeune femme a expliqué que dans sa famille, écraser la tête de quelqu'un dans du gâteau a longtemps été une tradition, notamment lors des anniversaires. Mais elle a été traumatisée le jour de ses 17 ans. "Ma mère m'a en effet obligée à me plier à cette coutume familiale, et je lui ai dit que je m'étais spécialement maquillée et coiffée pour l'occasion et que je voulais pas le faire. Elle n'a rien voulu savoir et j'ai donc accepté.
Alors que je soufflais mes bougies, ma mère a poussé ma tête dans le gâteau, et une des décorations a fini par me lacérer le front. Pas assez pour aller à l'hôpital, mais suffisamment pour provoquer un saignement substantiel. Mon anniversaire a été gâché, et je suis restée cloîtrée dans ma chambre..."
Son futur -désormais ex-mari- était au courant de cette histoire et de ce traumatisme et elle l'avait prévenu: "Je lui avais dit que si jamais il me faisait un truc pareil, je le quitterais. Il a commencé à rire, mais je ne plaisantais pas. Il a continué à ne pas me prendre au sérieux".
Et le jour du mariage, il n'en a fait qu'à sa tête, et au moment de couper le gâteau, «il a pris un énorme morceau de gâteau et il l'a écrasé sur mon visage".
Devant les rires de l'assistance, la jeune mariée, qui s'est sentie humiliée, choisit alors de s'enfuir et de partir chez un ami.
"Cela devait être le jour le plus heureux de nos vies, et il m'a mise mal à l'aise devant tout le monde avec une blague dont il savait que je la détestais. Et en plus, il a gâché un gâteau à 500 dollars, et il a sali mon maquillage, ma coiffure et le haut de ma robe" a-t-elle dit.
Evidemment, il y a les pour et les contre. Cette "tradition" est-elle défendable? La mariée a-t-elle manqué d'humour? Le fiancé n'a rien compris au traumatisme de celle qui devait être sa future femme? Du côté d'Exclusif Réunion, on prend position pour celle qui a pris ses responsabilités. Traumatisée une fois mais pas deux, surtout que le fiancé était averti...
La jeune femme a expliqué que dans sa famille, écraser la tête de quelqu'un dans du gâteau a longtemps été une tradition, notamment lors des anniversaires. Mais elle a été traumatisée le jour de ses 17 ans. "Ma mère m'a en effet obligée à me plier à cette coutume familiale, et je lui ai dit que je m'étais spécialement maquillée et coiffée pour l'occasion et que je voulais pas le faire. Elle n'a rien voulu savoir et j'ai donc accepté.
Alors que je soufflais mes bougies, ma mère a poussé ma tête dans le gâteau, et une des décorations a fini par me lacérer le front. Pas assez pour aller à l'hôpital, mais suffisamment pour provoquer un saignement substantiel. Mon anniversaire a été gâché, et je suis restée cloîtrée dans ma chambre..."
Son futur -désormais ex-mari- était au courant de cette histoire et de ce traumatisme et elle l'avait prévenu: "Je lui avais dit que si jamais il me faisait un truc pareil, je le quitterais. Il a commencé à rire, mais je ne plaisantais pas. Il a continué à ne pas me prendre au sérieux".
Et le jour du mariage, il n'en a fait qu'à sa tête, et au moment de couper le gâteau, «il a pris un énorme morceau de gâteau et il l'a écrasé sur mon visage".
Devant les rires de l'assistance, la jeune mariée, qui s'est sentie humiliée, choisit alors de s'enfuir et de partir chez un ami.
"Cela devait être le jour le plus heureux de nos vies, et il m'a mise mal à l'aise devant tout le monde avec une blague dont il savait que je la détestais. Et en plus, il a gâché un gâteau à 500 dollars, et il a sali mon maquillage, ma coiffure et le haut de ma robe" a-t-elle dit.
Evidemment, il y a les pour et les contre. Cette "tradition" est-elle défendable? La mariée a-t-elle manqué d'humour? Le fiancé n'a rien compris au traumatisme de celle qui devait être sa future femme? Du côté d'Exclusif Réunion, on prend position pour celle qui a pris ses responsabilités. Traumatisée une fois mais pas deux, surtout que le fiancé était averti...
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