On ne peut pas tenir des propos injurieux sur les réseaux sociaux sans en subir les conséquences. Le couperet est tombé ce mardi.
Dans la vidéo publiée dimanche, Miss Aquitaine, Aïnhoa Lahitete, se disait indignée du classement du Top 12: "Je veux pas faire ma rageuse hein mais… C’est quoi ce top 12 s’il vous plaît ? Allo la terre". À ses côtés, Miss Provence, Julie Zitouni, rajoute: "Toutes des grosses p***es". Quand bien même Miss Provence s'est excusée et a évoqué un langage "au sens familier", argument encore plus dérangeant de la part d'une Miss qui ne peut pas parler ainsi, ça ne pouvait pas passer.
Dans un communiqué commun, les comités Miss Provence Côte d'Azur et Miss Aquitaine, ont expliqué: "Cette décision fait suite à la diffusion d'une vidéo tournée dans les loges de l'élection de Miss France 2026, dans laquelle les deux candidates tiennent et relayent des propos injurieux à l'égard les douze demi-finalistes. Ces paroles et cette attitude sont en totale contradiction avec les valeurs que nos comités s'efforcent de défendre. Il s'agit d'une décision lourde de conséquences mais nécessaire.
Nous tenons à souligner que Julie et Aïnhoa ont présenté des excuses publiques, ainsi qu'aux candidates concernées, et nous en prenons acte. Néanmoins la gravité des propose tenus rend impossible le maintien de leurs titres".
Les deux comités ont aussi condamné fermement le déferlement de cyberviolence et de harcèlement subi par Julie et Aïnho.
La décision de destitution est soutenue par la Société Miss France, présidée par Frédéric Gilbert, et par l'Amicale des Délégués Régionaux qui regroupe toutes les délégations de métropole et d'outre-mer.
Il faut s'attendre à un nouveau buzz, la suite au prochain épisode...







